Piero Fornasetti, artiste milanais à la fois peintre, graphiste, sculpteur, décorateur d’intérieur et graveur, a souvent été présenté comme un visionnaire.
il est l’un des premiers à se servir de l’art de la table comme d’un support d’expression à part entière.
Les procédés de la marqueterie
Travail décoratif sur des meubles et le collage de minces feuilles de bois d’essences et de couleurs variées. La marqueterie, dont le procédé dérive de l’intarsia italienne, elle- même héritée des incrustations syriennes découvertes par les croisés au XIème siècles, devient avec le développement du placage une technique de décoration de meuble très importante.
Le cuir de Cordoue
Les cuirs de Cordoue sont issus d’une technique maîtrisée par la ville de Ghadamès en Libye, qui en avait fait sa spécialité depuis fort longtemps, et qui fut importée par les Maures sous le Califat de Cordoue.
les Bronzes de Vienne
Les bronzes de Vienne sont bien connues pour leur grande qualité technique ainsi que pour le grand soin porté au détail, au mouvement et à l’expression. Ces sculptures ont été produites dans de petites usines et ateliers d’artistes avec des finitions à la main très soignées.
L’origine du carré Hermès
Depuis plus de 75 ans, des centaines de dessinateurs se sont consacrés à l’invention de motifs inédits pour renouveler sans cesse la création du carré Hermès. Avec plus de 1500 motifs sérigraphiés imaginées à ce jour, de nombreuses histoires ont été contées, narrant tour à tour l’attache d’Hermès à la mode, aux cultures, aux arts, aux traditions…
Les plaques en faïence de Delf
Les plaques décoratives en faïence de Delf servent comme support à de jolies peintures. Elles sont utilisées comme panneaux décoratifs appliqués contre un mur ou encastrés dans des panneaux de carreaux de faïence.
Manufacture de papiers peints Joseph Dufour
Apparu à la fin du XVIIe siècle en France sous forme de dominos, grâce en particulier aux productions de la famille de Jean-Michel Papillon , apparu également sous forme de feuilles imprimées en taille douce, le papier peint qui en réalité n’est jamais peint, mais imprimé à la planche se développe d’une manière significative à la fin du XVIIIème et au XIXème siècle dans les demeures bourgeoises, à la place des tapisseries et des soieries, plus onéreuses.
L’émail de Limoges
Depuis près d’un millénaire, l’art de l’émail contribue à la renommée de Limoges. Sa singularité est d’avoir compté, à diverses époques, des artistes capables de renouveler leurs pratiques et de réaliser des oeuvres novatrices en phase avec leur temps, malgré quelques éclipses.
Le fixé sous verre: l’art de la peinture inversée
Qualifiée d’« art savant », c’est au cours de la Renaissance que cette forme d’art atteignit son apogée en ce que les compositions devinrent très élaborées, les coloris harmonieux, la virtuosité de la technique étourdissante.
L’art de la silhouette
C’est au XIXe siècle que les découpages sont devenus particulièrement populaires dans de nombreux pays : France, Allemagne, et dans les pays anglo-saxons , aussi bien dans les couches élevées de la société où le découpage faisait partie de l’éducation des jeunes filles de bonnes famille, que chez les paysans où ils étaient offerts pour les fêtes religieuses ou comme gage d’amour.