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Pauline VALLÉE (Lyon, XIXe - ?, XXe), Composition aux chinoiseries et japonaiseries, 1888
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Description de l’antiquite :

"Pauline VALLÉE (Lyon, XIXe - ?, XXe), Composition aux chinoiseries et japonaiseries, 1888"
Huile sur toile. 61 x 50 cm. Signée et datée en bas à droite.
Œuvre susceptible d’avoir été présentée au Salon artistique de Tours, organisé par la Société des amis des arts de la Touraine, en juillet 1889.

Mademoiselle Pauline Vallée est née à Lyon et fut élève de Marc Bruyas (1821-1896), maître lyonnais dans les toiles de compositions florales, et de Blaise Desgoffe (1830-1901), virtuose de la nature morte inspirée par les maitres hollandais du XVIIème siècle.

Dans les années 1880, Pauline Vallée est installée à Montparnasse, à Paris, où elle demeurera jusqu’aux années 1920. Ce quartier est alors en pleine transformation et devient progressivement un centre artistique majeur. En 1886, elle participe pour la première fois au Salon de Paris avec une nature morte intitulée « Fruits et objets d’art », qui est accueillie favorablement par la critique.

Membre de la Société des Artistes Français, nous ne savons que peu de choses de la vie de cette femme artiste mise à part les informations parcellaires compilées dans les livrets de Salons. On la retrouve exposant non seulement à Paris, mais aussi à Lyon, Dijon, Rouen, Tours, Nancy… Elle y présente principalement des natures mortes, tout en proposant occasionnellement quelques portraits.

Cette œuvre de Pauline Vallée est caractéristique du japonisme qui touche la France dès le milieu du XIXe siècle. L'ouverture du Japon en 1853 ainsi que sa participation à l'Exposition Universelle de 1878 a en effet permis à l'art japonais de s'introduire en Occident, d'abord dans des cercles de collectionneurs et d’artistes restreints, puis auprès du grand public lors des expositions universelles.

On y distingue ainsi un vase japonisant de l’ère Meiji, en céramique émaillée bleu profond à col long et motifs dorés, paré de chrysanthèmes jaunes importés de Chine. Il repose parmi des chinoiseries—éventail, boîte en porcelaine, étoffe brodée, mobilier laqué et tapisserie—illustrant l’engouement pour l’Orient à la fin du XIXᵉ siècle. Le piédestal en marbre néo-classique européen, sobre et luxueux, crée un écrin scénographique qui met en valeur ces objets japonisants colorés.
Prix: 6 000 €
Artiste: Pauline Vallée (lyon, Xixe - ?, Xxe)
Epoque: 19ème siècle
Style: Napoleon III
Etat: Très bon état

Matière: Huile sur toile
Largeur: 50 cm
Hauteur: 61 cm

Référence (ID): 1575568
Disponibilité: En stock
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