XVIIe siècle, École romaine, Atelier de Giovanni Francesco Romanelli, L’idolâtrie de Salomon flag

XVIIe siècle, École romaine,  Atelier de Giovanni Francesco Romanelli, L’idolâtrie de Salomon
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Description de l’antiquite :

"XVIIe siècle, École romaine, Atelier de Giovanni Francesco Romanelli, L’idolâtrie de Salomon"
XVIIe siècle, École romaine

Atelier de Giovanni Francesco Romanelli, dit le Viterbese (Viterbo, 1610 c.a. -1662)

L’idolâtrie de Salomon

Huile sur toile, cm 73,5 x 59,5

L’épisode biblique de Salomon qui adore les idoles est l’un des passages les plus tristes et surprenants des Écritures, raconté dans le Premier Livre des Rois, chapitre 11. Salomon, le roi célèbre pour sa sagesse et pour avoir construit le magnifique Temple de Jérusalem dédié à Dieu, tombe dans une apostasie qui entache sa réputation et entraîne des conséquences graves pour le royaume d’Israël. Le problème de Salomon a commencé avec ses nombreuses femmes étrangères. Bien que la Loi de Dieu ait interdit aux Israélites d’épouser des femmes de peuples païens pour éviter que leur cœur ne s’éloigne du Seigneur, Salomon prit sept cents princesses et trois cents concubines de Moab, Ammon, Édom, Sidon et Hittite. Ces femmes, pour la plupart, venaient de cultures qui adoraient des divinités autres que le Dieu d’Israël. Avec l’âge, et sous l’influence de ses femmes, le cœur de Salomon commença à dévier. Elles le poussèrent à suivre leurs divinités, et ainsi Salomon, qui avait fait preuve d’une profonde dévotion dans sa jeunesse, finit par adorer des idoles abominables. Parmi les divinités que Salomon commença à vénérer, il y avait Astarté, la déesse des Sidoniens; Milcom, la divinité des Ammonites; Hémos, l’abomination des Moabites; et Moloc, l’idole auquel on offrait des sacrifices humains.

Pour plaire à ses femmes, Salomon non seulement toléra l’idolâtrie, mais il arriva à construire des "hauts lieux" - c’est-à-dire des sanctuaires païens - sur une montagne en face de Jérusalem, dédiés à ces divinités étrangères. Dans ces lieux, ses femmes offraient de l’encens et des sacrifices à leurs dieux, et Salomon lui-même participait à ces pratiques, s’écartant de l’alliance qu’il avait faite avec le Seigneur.
Prix: 3 600 €
Epoque: 17ème siècle
Style: Autre style
Etat: Bon état

Matière: Huile sur toile
Longueur: 73
Largeur: 59

Référence (ID): 1570422
Disponibilité: En stock
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