Autoportrait Avec Les Collines De Florence, , Tableau Par F. Pfanhauser Polonie -italie XIX S.

autoportrait avec les collines de Florence en arrière-plan, Tableau huile sur papier collé sur bois   Par F. Pfanhauser, signé en bas à gauche 
Polonie -italie XIX Siècle Grand tour 
au verso elle porte une inscription F Pfanhauser decisit  1822 probablement tirée du verso de la carte
Son père était un artisan aisé émigré d'Autriche. Il commence ses études d'art au lycée de Varsovie avec Zygmunt Vogel et Marcello Bacciarelli. En 1817, il s'inscrit à la Faculté des Beaux-Arts de l'Université de Varsovie. Plus tard, il reçut des bourses gouvernementales qui lui permirent d'étudier à Vienne et à Rome ; renvoyer des tableaux pour des expositions à Varsovie. Initialement, il envoya des copies d'œuvres de Titien et de Corrège, mais, en 1825, il envoya des compositions originales, notamment des interprétations de Władysław Jagiełło épousant Jadwiga et d'Œdipe aveugle dirigé par Antigone. Après l'expiration de ses bourses en 1830, il resta à Rome à ses frais. Il retourna en Pologne en 1834 et, trois ans plus tard, épousa une peintre nommée Amélia Lepigé, qu'il avait rencontrée lors d'une vente aux enchères d'art.A cette époque, il commence à se spécialiser dans les portraits. Certains de ses modèles notables comprenaient Maria Szymanowska et le général Jan Zygmunt Skrzynecki. Plus tard, il peint également des œuvres religieuses ; notamment une « Adoration des Mages » pour l'archicathédrale Saint-Jean (détruite en 1944). Beaucoup de ses œuvres furent en effet perdues ou détruites pendant la Seconde Guerre mondiale. À la fin des années 1830, il entreprit des travaux de restauration dans la galerie du palais Łazienki. Il était également un collectionneur d'art passionné et possédait des œuvres de Raphaël, Rubens et Rembrandt.[1] En 1844, une grande exposition de sa collection eut lieu à Saint-Pétersbourg. En 1836, il créa sa propre école d'art, qu'il dirigea jusqu'en 1848, date à laquelle lui et sa femme émigrèrent en Italie à la suite du soulèvement de la Grande Pologne.[1] Après cela, il a apparemment coupé tous liens avec la Pologne et semble s'être concentré sur la collection d'art et d'antiquités plutôt que sur la peinture.
cadre neoclassique