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Henri Rivière (1864-1951) - Du Haut De Notre Dame

Description de l’antiquite :

"Henri Rivière (1864-1951) - Du Haut De Notre Dame"

J'ai eu la chance d'acquérir plusieurs lithographies originales de l'incontournable Henri Rivière dans un état irréprochable, préservées de la lumière du jour.

Ces lithographie sont proposées dans un encadrement "Musée" de qualité (comprenant un verre anti reflets et anti UV, un carton anti acidité Muséo entre la litho et le carton de protection au dos, un passe classique, avec biseau, une baguette en chêne naturel.

Le prix indiqué inclut le prix du cadre.

Celle-ci fait partie de la Série "Paysages Parisiens", est intitulée "Du haut de Notre Dame" et a été imprimée par Eugène Verneau en 1900.

C'est une vue de Paris sous la neige vue des toits de Notre Dame.

Elle est splendide ...

Dimensions de la feuille 64 cm x 90 cm, 53 cm x 82 cm pour l'image, à vue.

Il n'y a jamais eu de tirage autre que celui de 1900, la pierre lithographique a éte lavée suite au tirage de l'epoque par l'imprimeur Verneau.

"Henri Rivière (1864-1951) fut une grande figure du cabaret montmartrois Le Chat noir et l’un des acteurs les plus inventifs de l’estampe de la Belle époque. Créateur du célèbre Théâtre d’ombres qui fit la réputation du Chat noir à la fin des années 1880, Henri Rivière s’est ensuite imposé dans le domaine de l’estampe par sa passion de la couleur.

En marge des courants artistiques de son époque, il puisa son inspiration dans les paysages de Bretagne où il séjournait régulièrement et dans les estampes japonaises qu’il collectionnait. Lorsqu’il mit fin à sa carrière de peintre-graveur, en 1914, il poursuivit un œuvre d’aquarelliste au gré de ses pérégrinations en France.

Hormis quelques séances dans l’atelier du peintre d’histoire Emile Bin, Henri Rivière n’a pas reçu de véritable formation artistique. Il s’engage en autodidacte dans la voie artistique et affirme sa vocation au contact des artistes qu’il rencontre au Chat noir : Steinlen, Auriol, Willette, Caran d’Ache, Henry Somm. Fondé en 1881 par Rodolphe Salis, le cabaret montmartrois est le lieu de rencontre de toute la bohème de l’époque. Rivière le fréquente assidûment dès l’âge de 18 ans et prend part à la fabrication du journal Le Chat noir...

Entre impressionnisme et japonisme, l’art d’Henri Rivière (1864-1951) est tout entier voué à restituer « les aspects de la nature », au fil des heures et des saisons. "