Ce tableau sera restauré par nos ateliers avant livraison .
D une composition Antique représentant des hommes au TÉPIDARIUM (partie des bains Romains maintenu à température moderée), ce tableau qui fut donc un morceau de réception au Salon pour l artiste en 1863 est d une qualité représentative de la facture de ce peintre qui fut élève de V.VIBERT à l école des Beaux Arts de LYON de 1851 à 1854, puis de l école des Beaux Arts de PARIS où il entra en 1856 où il eut pour maître d H FLANDRIN et de GLEYRE .
Il expose à Paris et Lyon des tableaux des tableaux d histoire et de genre , des portraits ,des figures et des scènes prises au Maroc, il reproduit aussi les maîtres anciens notamment à Paris.
Il obtient une médaille de bronze aux expositions universelles de 1889 et de 1900 et décoré en 1889.
Il a peint à Lyon en 1877 le plafond du théâtre des CÉLESTINS , LE MUSÉE des Beaux Arts de la ville a de lui un tableau de 1882 représentant REBECCA .
ces oeuvres sont présentées dans de nombreux musées notamment :
Mulhouse, Lyon, Paris , Perigueux etc ....
Auguste Alexandre Hirsch est le fils d'Alexandre Hirsch (1801-1890), marchand brodeur, et de Rosalie Mayer (1801-1885). Il est le frère de Malvina Hirsch (1826-1917), d'Abraham Hirsch (1828-1913), architecte en chef de la Ville de Lyon, de Julie Hirsch (née en 1831) et de Joseph Hirsch (1836-1901)[3], ingénieur en chef, ingénieur civil, professeur de Machines à l'École des ponts et chaussées, de mécanique appliquée au Conservatoire national des arts et métiers, expérimentateur et expert en machines thermiques puis inspecteur général honoraire des ponts et chaussées.
Auguste Alexandre Hirsch a été l'élève de Victor Vibert à Lyonentre 1851 et 1854, puis celui d'Hippolyte Flandrin et de Charles Gleyre à l'École des beaux-arts de Paris. Il a fait un voyage au Maroc en 1870 qui lui ont inspiré des tableaux sur la communauté de Tétouan.
Il a débuté au Salon de 1857 avec un dessin représentant Moïse. Il a exposé à Paris et à Lyon de 1857 à 1909. Il a été médaillé au Salon (mention honorable et médaille de bronze) en 1889, à l'Exposition universelle de 1889 et de 1900. Ses origines israélites l'ont amené à choisir un engagement identitaire discret en introduisant des notes juives[C'est-à-dire ?] dans une iconographie plutôt classique. Peintre académique, il a peint des portraits, des scènes de genre et des sujets inspirés par la mythologie classique.
Il a peint en 1877 le plafond du théâtre des Célestins de Lyon.
Il a été inspecteur de l'enseignement du dessin à l'administration des Beaux-Arts en 1879 et inspecteur des musées départementaux en 1887. Il rédige l'article « Perspective pratique » pour le Dictionnaire de pédagogie et d'instruction primaire[4].






























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