Les clowns rangés attendent., maquillage pâli par les larmes.
Un, deux pas en arrière… Et tous s’écartent, comme on dégage la piste pour un dernier numéro.
Le bois sombre du cercueil avance au centre, doucement, comme s’il cherchait sa place.
Pas de rires cette fois, pas d’applaudissements.
Seulement le froissement timide d’un mouchoir en tissu, taché de couleurs vives.
Le clown est parti.