l'artiste E.Trolli reprend en trois dimensions les modèles de Greuze et nous fait parvenir un buste en biscuit de porcelaine de Limoges d'une très belle qualité.
cette jeune femme au doux regard perdu est coiffée d'un bonnet à la mode du XVIII eme siècle ainsi que d'une robe corsetée sur la poitrine.
ce grand buste en biscuit est en parfait état, impeccable pas d'egrenures ni d'accident, à noter que le buste bouge légèrement de gauche à droite sur son axe par rapport au socle.
signé E.Trolli sur l'épaule à l'arrière.
marque R.L. couronné pour la manufacture de Limoges.
un buste charmant dont la qualité du biscuit offre des jeux d'ombre très intéressants en fonction de la lumière et de l'exposition.
avec certains éclairages ce buste semble encore plus vivant.
une très belle qualité de biscuit, un buste du XIX eme siècle tout à fait dans l'esprit du XVIII eme siècle.
dimensions :
hauteur 54 cm largeur 27 cm base du socle 14 cm sur 14 cm.
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Cette pièce, signée par le talentueux sculpteur Ernesto Troili, incarne l'élégance et le raffinement du style Louis XV Sous les traits de cette charmante jeune femme à l'air songeur qui n'est pas sans rappeler l'esprit de Greuze et de ses portrait.
Cette sculpture représente donc une jeune femme gracieuse portant un bonnet, immortalisée avec une délicatesse et une précision remarquable. La finesse des traits et la fluidité des lignes témoignent du travail d’Ernesto Troili, sculpteur français d'origine italienne, actif à la fin du XIXème siècle. Le socle de la sculpture, en porcelaine en biscuit de porcelaine, ajoute une touche de noblesse et de sophistication à l’ensemble, mettez en valeur harmonieusement et avec cohérence la blancheur immaculée du biscuit de porcelaine.
le sculpteur:
Ernesto Troili est un sculpteur reconnu pour ses créations dans le style rocaille, typique du XVIIIème siècle mais revisité avec une sensibilité propre à la fin du XIXème siècle. Il réalise des œuvres de grands formats décoratifs pour les fonderies du Salin et expose régulièrement ses créations au Salon, notamment en 1887, où il reçoit des éloges pour la finesse et l’élégance de ses sujets.